samedi 13 août 2016

Pays sans odeurs. II/VII


II

Et, et, je t’écouterais, je te sentirais, au bord de la route un soulier défait, et le cœur brisé sur le côté, les doigts au flanc, tout palpite sur le devant.

Du raisin, et bien aigre, et bien tout encore à l’avenant. 

Au terme du contrat, des histoires d’amour et de partage, pays sans odeur, on en hérite, on en revient et tout tremble au chemin, les fleurs, bruyères, pays tordu. 

21 Août 2015.           

1 commentaire:




  1. Traces
    écritures
    en semences
    troublées

    ô
    temps
    partage
    l’eau


    tu cherches l’ardoise
    d’un pays parfumé

    un soulier sous le pied
    et le cœur brisé


    amour et partage
    parfum d’or tremblé
    les fleurs sont mystère
    dans ce cœur de papier



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