samedi 22 avril 2017

Exil, le retour. III 5/9

Cœurs enrubannés, le plus grand, le plus lourd, un bouquet, le poids des étamines, pétales insupportables, de parfums et couleurs les yeux couronnent, oiseaux perdus au loin, si loin, becs serrés, cœurs meurtris, posés sur l’eau, sur l’herbe, la terre et les airs, tout est parfum, tout est possible.

03 Août 2016.

1 commentaire:



  1. " Voilà, cela commence comme cela les mots vous mènent
    On perd de vue les toits on perd de vue la terre
    On suit inexplicablement le chemin des oiseaux "

    Louis Aragon


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